Un locataire de la cité très en colère dira: «Cela fait trois mois que cela dure. Les odeurs pestilentielles incommodent fortement les résidents de la cité qui sont ainsi condamnés à fermer les fenêtres.» Les eaux usées se déversant sur la chaussée, comme c’est d’ailleurs la cas au niveau du chemin de la deuxième pénétrante d’Arzew et celui de la tour «PVP», irritent les riverains en tout premier lieu, puisque ces derniers y sont confrontés quotidiennement, en l’absence des services concernés.
Le phénomène donc des eaux usées jaillissants sur la chaussée prend de l’ampleur. «Bien qu’un écrit ait été adressé en ce sens, les autorités compétentes n’ont pas daigné réagir», s’exclamera un autre citoyen qui ajoutera: «Ils ne se rappellent de nous qu’au moment du vote, puis nous tournent le dos aussitôt.» C’est donc un vrai cri de détresse que lancent les habitants de la cité Khalifat Ben Mahmoud .
Ceci dit, les occupants des maisons précaires avoisinantes, l’égout débordant à l’intérieur du parc vert qui sont touchés avoisinantes, l’égout débordant à l’intérieur du parc vert qui sont touchés par ce ruisseau nauséabond, appellent les services d’hygiène de l’APC et celui de la SEOR, pour prendre les mesure nécessaires à l’éradication de ce lac gigantesque d’eaux puantes, pouvant engendrer des maladies graves, tel le paludisme qui se transmet à l’homme par des piqûres de moustiques infectés.
Ces eaux polluées qui se déversent sur la chaussée, suscitent une vive inquiétude auprès de la population, comme le prouve le témoignage de cet habitant d’Arzew: «Je suis inquiet, parce que là où j’habite, il y a un égout à ciel ou vert. Les eaux usées se déversent donc tout près de nos maisons depuis une canalisation défectueuse mitoyenne et il y a donc risque de santé publique.»
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