école akid lotfi cap carbon :Les parents d’élèves menacent de retirer leurs enfants de l’établissement

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Suite à la surcharge de la classe de 5e année de l’école Akid Lotfi


Dans une correspondance adressée au directeur de l’Education d’Oran, sous couvert de l’inspecteur de la circonscription administrative d’Arzew et du directeur de l’école Akid Lotfi, datée du 29 du mois courant et dont les site ville d'arzew détient une copie, 18 parents d’élèves signataires de cette pétition demandent l’intervention du responsable de l’Education au niveau de la wilaya pour l’annulation de la dernière décision de fusionnement et de revenir à l’ancienne option de deux classes de 5e année au lieu d’une seule qui compte 48 apprenants avec trois élèves par table. 

En effet, les 18 pétitionnaires se demandent comment l’enseignante, chargée de dispenser des cours au niveau de cette classe trop chargée et exigüe pourra-t-elle faire passer son message pédagogique, dans une classe surchargée alors que les élèves sont tributaires de bons résultats en fin d’année. 

En conclusion, les parents d’élèves signataires de cette correspondance menacent, en cas de non-institution de deux classes, comme c’était le cas auparavant, d’arrêter le cursus scolaire de leurs enfants tout en endossant la responsabilité aux ordonnateurs de cette décision. Pour rappel, il existait au départ de l’actuelle rentrée scolaire au niveau de l’école Akid Lotfi deux classes de 5e année comptant 24 élèves chacune dont les cours étaient assurés par deux enseignants. 


Suite à une décision de l’Académie d’Oran, les deux groupes ont été fusionnés pour en constituer une seule classe de 48 élèves, alors que l’instituteur avait été orienté vers une autre classe, dont le maitre était sorti à la retraite. 


Il faut également mettre en relief que ces parents ont observé, jeudi, un rassemblement devant la porte de l’école dimanche devant le bureau de l’inspecteur administratif et comptent, au moment de la rédaction de ces lignes, se diriger vers l’Académie d’Oran pour porter de vive voix leurs préoccupations. 

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