La sardine enfin à portée des ménages
Le littoral oranais a enregistré ces dernières an nées une régression re- marquable de la production halieutique aboutissant à une certaine montée des prix du poisson, ce qui a suscité une profonde inquiétude dans la corporation des professionnels de la mer et des responsables gestionnaires de ce secteur, sans parler du sevrage obligatoire de la population des produits de mer qui étaient jadis, pour la majorité des démunis, leur seule source de nourriture et d’alimentation.
Cette situation alarmante de rareté et de cherté des produits de mer, n’a pas manqué de désenchanter de nombreuses familles de la consommation, par exemple, de la sardine, qui trouvaient en cette variété le poisson préféré et leur seul refuge pour boucler les difficiles fins de mois.
Ayant atteint des cimes vertigineuses ces derniers mois, au grand dam des ménagères et des accros de la grillade, cette espèce de poisson considérée jadis à juste titre comme la viande du pauvre, a enregistré des envols de prix hors de portée des ménages dépassant allègrement la barre des 500 DA le kilogramme.
Actuellement, les données ont complètement changé puisqu’on enregistre un accroissement remarquable de l’offre du poisson bleu et blanc au grand enchantement des ménages.
En effet, en respectant strictement la période obligatoire du repos biologique qui démarre du 1er mai au 31 août, l’abondance du produit halieutique est visible sur les marchés d’Arzew à des prix abordables, arrivant, parfois à hauteur de 150 DA le kilo de sardine.
Le littoral oranais a enregistré ces dernières an nées une régression re- marquable de la production halieutique aboutissant à une certaine montée des prix du poisson, ce qui a suscité une profonde inquiétude dans la corporation des professionnels de la mer et des responsables gestionnaires de ce secteur, sans parler du sevrage obligatoire de la population des produits de mer qui étaient jadis, pour la majorité des démunis, leur seule source de nourriture et d’alimentation.
Cette situation alarmante de rareté et de cherté des produits de mer, n’a pas manqué de désenchanter de nombreuses familles de la consommation, par exemple, de la sardine, qui trouvaient en cette variété le poisson préféré et leur seul refuge pour boucler les difficiles fins de mois.
Ayant atteint des cimes vertigineuses ces derniers mois, au grand dam des ménagères et des accros de la grillade, cette espèce de poisson considérée jadis à juste titre comme la viande du pauvre, a enregistré des envols de prix hors de portée des ménages dépassant allègrement la barre des 500 DA le kilogramme.
Actuellement, les données ont complètement changé puisqu’on enregistre un accroissement remarquable de l’offre du poisson bleu et blanc au grand enchantement des ménages.
En effet, en respectant strictement la période obligatoire du repos biologique qui démarre du 1er mai au 31 août, l’abondance du produit halieutique est visible sur les marchés d’Arzew à des prix abordables, arrivant, parfois à hauteur de 150 DA le kilo de sardine.
Cette nouvelle tendance qui était auparavant très négligée, augure d’une bonne saison de pêche, comme nous l’a annoncé un vieux loup de mer, pourvu, continue-t-il, qu’elle soit respectée lors des prochaines haltes de reproduction de la faune maritime.
Et de conclure «le manque de contrôle au sein des ports de pêche a profité à certains professionnels de la corporation qui pêchent des tonnes de jeunes poissons et les commercialisent sans pour autant prendre en considération les effets néfastes sur la santé publique et le fait de porter un coup fatal à la richesse halieutique, comme c’était le cas auparavant où les étals des vendeurs de poissons regorgent de petites sardines ne dépassant pas les 8 cm sans parler des mailles de filets de pêche illégales».
Notant que les 120 chalutiers sardiniers ou autres petits métiers ayant domicile au sein de la pêcherie d’Arzew que gère l’entreprise de gestion des ports de pêche d’Arzew (EGPP), avec leurs multiples mobilités dans le bassin portuaire, deviennent à la longue, vu l’exiguïté de l’espace qui leur est réservé, un réel danger pour les nombreux pétroliers et autres mastodontes gaziers qui sillonnent le bassin du port.
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