L a seconde pénétrante de la ville d’Arzew, déviant de la RN13 Arzew/Oued Tlélat/Sidi Bel-Abbès, était difficilement praticable hier matin et ce, suite aux intempéries, a-t-on constaté hier, sur la route longeant l’Oued El-Mohgoun, à proximité de la face Sud de l’école primaire Mustapha.
Cela dit, ladite chaussée déjà très affectée par les ré- cents travaux hydrauliques, a complètement été inondée, au niveau de l’endroit le plus rabaissé dans cette rocade reliant le sens giratoire de Haï Ellouz, aux quatre chemins avoisinant le tribunal d’Arzew et où se concentrent, à chaque pluviométrie, des milliers de mètres cubes d’eau de pluie, provenant des hauteurs d’Arzew, notamment des plateaux, rendant ainsi la circulation piétonnière et automobile impossible à cet endroit gorgé d’eau et peinant à se déverser dans le nid de l’Oued El-Mohgoun. Celui-ci s’est réveillé, hier, suite aux importantes averses nocturnes.
La même situation a été constatée plus à l’Ouest, sous le nouveau viaduc de chemin de fer et les usagers de cette route ont donc trouvé mille difficultés à sortir ou à rentrer à Arzew, à cause des nids de poules et des fosses qui caractérisent ce chemin, subissant les conséquences des travaux de la voie ferrée ElMohgoun/Arzew.
Plusieurs routes étaient donc difficilement praticables, hier matin, dans plusieurs recoins de la ville pétrolière et ce, suite aux intempéries, notamment au niveau de la corniche arzewienne, surtout aux abords du tronçon routier se trouvant près de la plage Saint-Michel, submergé par les eaux pluviales, en raison du creux apparu sur la chaussée et dû à la densité routière. A ce niveau, la chaussée a également été inondée, au grand dam des habitués de cette route.
Des travaux de la voirie sont donc plus que nécessaires et ce, pour éviter aux automobilistes ce genre de désagrément, à chaque précipitation.
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