Réclamant une prise en charge des carences dansles
établissements scolaires
Dans une requête destinée au premier responsable du secteur
éducatif de la wilaya d’Oran (DEWO), (copie transmise à la rédaction), le
bureau de coordination du syndicat autonome (UNPEF), représentant les
directeurs d’écoles primaires d’Arzew, dresse un constat des plus sombres sur
la réalité Des établissements scolaires du cycle primaire, gérés par la
commune d’Arzew et caractérisés par«Une exclusion caractérisée» des écoles
primaires du programme de la gestion
municipale.
Cet état de fait aurait, selon la correspondance, généré «Une
dégradation» totale des biens pédagogiques locaux. Parmices carences,l’UNPEFdénonce
dans son rapport transmis à la (DEWO), «La négligence remarquée dans la réparation des chaufferies
hors d’usage», «La dégradation des portes et fenêtres des locaux pédagogiques»,
«Le manque de l’éclairage interne» et «L’absence du téléphone fixe», en dépit
des recommandations sécuritaires, en ce sens, «La détérioration des sanitaires
et les pertes considérables en ressource en eau», «Le manque en personnel
d’hygiène Ainsi que la carence en matière de gardiennage nocturne» et
«L’absence de stérilisation des réservoirs d’eau potable». Le même communiqué
syndical fait allusion «au dérèglement» du programme de Collecte des déchets, ainsi que la non dotation des cantines scolaires,
surtout en traiteurs.
Les directeurs des établissements scolaires du cycle de
l’enseignement primaire d’Arzew, tout en réclamant la réévaluation du budget alloué pour le
fonctionnement des écoles, invitent le directeur de l’éducation à prendre les mesures qui s’imposent pour
résoudre ces problèmes d’ordre de gestion qui enfreignent le bon déroulement de
la scolarité des enseignés, pour se mettre en diapason avec le programme
étatique de l’amélioration de la qualité du service public.
Se dirige-t-on droitement vers un bras de fer entre le secteur
éducatif et l’APC d’Arzew? L’avenir nous le confirmera! En tous cas, c’est la première fois que des
directeurs d’établissements scolaires se révoltent contre une soi-disant
gestion catastrophique des écoles.
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